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Articles de chasse, pêche, coutellerie, airsoft
LES 3 CANNES
za sud, 5 rue de l'industrie, Guibray
14700 FALAISE
Tél : 02 31 90 04 01
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Arbalete de loisir, type pistolet arbalète de 150 Livres
Pistolet Arbalète de 150 Livres
Livrée avec 2 flèches et la corde principale.
Description
Arbalete :
Nos arbalètes de loisir sont garanties 12 mois, non compris la corde.
Nous proposons d'autres modèles d'arbaletes, mini arbalete ou pistolet arbalète, arbalete compound ou arbalete a poulie, plusieurs marque dont barnett et ses references panzer, phantom et wildcat, les pieces detachées pour réparation, ainsi que tous les accessoires tels arcs de rechange, trait arbalete, corde de rechange, pointes chasse. Vente uniquement aux Majeurs.
Historique
(cf Wikipedia)
L'arbalète en latin « arcuballista » est une arme de jet , inventée en chine, et dont on atteste la présence parmi les légions romaines.
L'arbalette peut etre assimilée tout simplement est un arc monté horizontalement sur un fût. Par rapport à l'arc, l'arbalete présente certains avantages. La corde peut rester bloquée en position "armée" avec un dispositif mécanique, qu'on libère ensuite d'une faible pression. Ainsi, maintenir l'arme bandée ne requière aucun effort, ce qui permet de séparer le mouvement d'armer et celui de tirer. Deuxièmement, au lieu de bander avec un seul bras, comme avec un arc, on peut utiliser divers dispositif multiplicateurs (levier, crémaillère, etc.), utiliser les deux bras ou même la force de plusieurs hommes, et adopter des arcs plus rigides. Une telle arbalete sera beaucoup plus puissante, son projectile aura une plus grande portée, précision et force d'impact. En contrepartie le tir sera beaucoup plus lent qu'avec un arc, et l'engin peut être trop encombrant pour un homme seul, en faisant une arme de siège ou navale de peu d'utilité sur le champ de bataille terrestre. D'autre part la force de l'arme est fixée par le point d'ancrage, contrairement à celle d'un arc qui varie selon que l'archer tire plus ou moins sur la corde. On peut viser sans fatigue, ce qui améliore la précision (très utile à la chasse, parfois utile à la guerre). Utiliser une arbalète est beaucoup plus facile qu'utiliser un arc, ce qui permet de simplifier l'entrainement militaire.
Le projectile de l'arbalete est appelé selon les tireurs, trait, carreau, ou fleche pour arbalete.
La mécanique du carreau de l'arbalète est essentiellement celle d'une flèche, avec quelques différence mineures en termes de principe, mais significatives sur le comportement balistique : une flèche se tord sous la pression de la corde, le carreau d'arbalète est assez court et rigide pour ne pas subir ce problème.Le carreau d'arbalète est intermédiaire entre la flèche (il est plus court et plus rapide) et la balle des arme à feu (il est beaucoup plus gros, plus lourd, et plus lent)
En occident, legastrophete est l' ancetre de l'arbalete : mais ce n'était alors qu'une arme de siège, trop lourde pour servir sur un champ de bataille. D'abord arme de chasse, l'arbalète est utilisée comme arme de guerre au moyen age. Méprisée par la chevalerie, elle est considérée comme arme déloyale, car - tuant à distance - elle ne permet pas à l'adversaire de se défendre. Considérant que l'usage de l'arbalète, qui n'exigeait pas grande formation, permettait à des soldats peu aguerris de tuer à distance un chevalier en armure qui avait voué son existence au métier de la guerre, le clergé estima que l'arbalète était une arme immorale pour le peu de courage et de formation qu'elle exigeait de celui qui la maniait. Son usage est interdit en 1139 par le 2ieme concile de Latran et confirmée quelques années plus tard, en 1143, par le pape Innocent 3, qui menaça les arbalétriers, les fabricants de cette arme et ceux qui en faisaient le commerce d'excommunication et d'anatheme. Cette interdiction, par ailleurs valable uniquement pour les combats entre chrétiens, restera médiocrement observée par les princes d'occident malgré les efforts du pape Innocent 3 pour réaffirmer, en 1205, les interdits du concile du Latran II. Durant les guerres médiévales, la France fait souvent appel à des mercenaires arbalétriers étrangers (notamment italiens, et en particulier génois), dont le tir pouvait percer une armure jusqu'à une distance de 90 à 100 mètres.
Une des victimes les plus célèbres fut Richard Cœur de Lion qui mourut de la blessure infligée par un carreau d'arbalète en 1199.
Les progrès de la sidérurgie augmentent parallèlement la robustesse des armures et la puissance de l'arbalète avec la création de l'arc en acier, au début du xive siècle, qui remplace petit à petit, les arcs en bois et les arcs composites (lamellé-collé : bois + tendons + corne, le tout encollé). On invente aussi un mécanisme complexe et coûteux, avec temps de rechargement de plus en plus long de 2 à 3 minutes (jusqu'à 30 minutes pour les modèles les plus puissants) comme le cric ou le treuil (appelé aussi le « moufle ») pour tendre l'arbalète. Les Italiens se distinguèrent dans la fabrication d'arbalètes particulièrement efficaces : un trait pouvait atteindre jusqu'à 350 km/h ! Cependant, à raison de deux coups par heure, elle fut peu utilisée sur les champs de bataille.
Le cric d'arbalète est connu de nos jours, de façon erronée, sous le nom de « cranequin ». À l'origine, ce mot désignait l'arbalète et non le mécanisme destiné à la tendre mais l'erreur a perduré. Les cranequiniers étaient les utilisateurs (à pied ou à cheval) de ce type d'arbalète.
Les arbalètes, comme les arcs, ont pratiquement disparu lorsque les armes à feu, plus facile d'emploi, demandant moins d'entraînement, et aussi beaucoup moins chères, devinrent l'équipement de base du fantassin. Des utilisations marginales restent néanmoins attestées jusqu'à des époques très récentes.
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